Roman de l’écrivain allemand Henry Winterfeld (09/04/1901 – 27/01/1990), publié en 1953 sous le titre Caius ist ein Dummkopf. La traduction française d’Olivier Séchan paraît en 1955 chez Hachette Jeunesse dans la collection Bibliothèque Verte.
Présentation de l’éditeur:
CAÏUS EST UN ÂNE. La phrase inscrite par Rufus sur sa tablette remporte un grand succès en classe. Mais Caïus rougit de colère. Comment Rufus ose-t-il l’insulter, lui, le fils d’un richissime sénateur ? Mais le lendemain, plus personne n’a envie de rire. La même phrase est tracée en lettres rouges sur la façade du temple de Minerve. Or, dans la Rome impériale, le sacrilège est terrible.
Ce que j’en pense:
Dans ce roman historique aux allures de récit policier, nous suivons des élèves tentant d’innocenter l’un de leurs camarades, accusé d’avoir profané un temple. Cherchant des indices, procédant à des interrogatoires, faisant des déductions, guidés par leur professeur, les enfants vont aller de découvertes en fausses pistes. Et alors qu’ils vont et viennent dans les rues, ajoutant un petit côté aventure à l’intrigue, c’est l’occasion pour le jeune lecteur de découvrir Rome pendant l’Antiquité.
Un récit sympathique, bien que classique dans son traitement.